Indispensable à la vie  

• La privation de sommeil entraîne une dégradation physiologique des fonctions cardiovasculaires, endocrines, immunologiques… mais aussi des phénomènes de prises de poids, d’obésité et de diabète. 
   

 Un processus physiologique en 5 stades  

•  Le sommeil  comprend 5 stades d’environ 1h30 qui se succèdent pendant 4 à 6 cycles. 

Chaque stade est caractérisé d’une activité cérébrale qui lui est propre, facilement identifiable sur un éléctroencéphalogramme EEG via des électrodes posées sur le cuir chevelu. 

4 stades de sommeil lent + 1 stade de sommeil paradoxal 

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    ► Durant les stades de sommeil lent, l'activité cérébrale diminue à mesure que le sommeil se fait profond, la tonicité musculaire reste présente. 

    ► Durant le sommeil paradoxal , l'activité cérébrale est intense mais la tonicité musculaire est nulle. C’est à ce stade que les rêves sont les plus fréquents. 
 

Au début de la nuit, le sommeil lent profond occupe la majeure partie du temps de sommeil, puis il se réduit voire disparaît alors que le temps de sommeil paradoxal augmente.

  

 Une fonction naturelle régit par notre horloge biologique 

   • Nous avons dans notre cerveau une horloge biologique réglée sur 24h qui gouverne l'alternance veille/sommeil mais aussi d'autres rythmes réglés sur la journée comme notre température corporelle, nos rythmes cardiaques, respiratoires, hormonaux. 

   • Parfois, l'horloge se dérègle soit en raison de nos habitudes de vie ou de travail soit par un dérèglement interne.   

   • Deux facteurs contribuent à la synchronisation de notre horloge : la lumière qui selon son intensité augmente ou baisse la sécrétion de mélatonine et notre rythme social avec les repas, la montre, les activités.